Car le joug qui pesait sur lui, le bâton qui frappait son dos, le gourdin de son oppresseur, toi, tu les as brisés tout comme au jour de la défaite de Madian.
(9:2) Tu rends le peuple nombreux, Tu lui accordes de grandes joies; Il se réjouit devant toi, comme on se réjouit à la moisson, Comme on pousse des cris d'allégresse au partage du butin.
En effet, le fardeau qui pesait sur elle, le gourdin qui frappait son dos, le bâton de celui qui l'opprimait, tu les brises comme tu l’as fait lors de la victoire sur Madian.